Pays Dogon
Que vous dire à part qu'ils étaient vraiment très très courts... ?!
Reprenons... nous avons quitté Djenné dans un véhicule nommé bâché dans lequel nous avons vécus de fous moments serrés à 17 les uns contre les autres... Notamment une jolie tempête qui nous a plongé dans un brouillard rouge... Le bâché était arrêté, les hommes avaient enlévé les bagages du toit, pressentant certainnement la tempête. Le vent soufflait, puis sa force à augmenté, la terre s'est soulevée et nous avons été entourés d'une poussière rouge, d'abord semblable à un brouillard important jusqu'à devenir totalement opaque !! Puis la pluie est arrivé, gifflant les bâches du bâchés, alors que le vent continuait à secouer ce dernier. Enfin bon c'était rigolo. On s'est pas mal arrêté pour des problèmes techniques du véhicules... certains descendent avant le terminus, d'autres montent vu que des places (je sais pas où ils ont vu de la place...) se sont libérées ! On a même eu 2 chèvres avec nous, qui ont bien failli faire pipi sur les tapettes (ententez tongs) d'Emilie !
Finalement Lulue était toute faible mais on est bien arrivées à Bandiagara où on était dans un hôtel class et où on a donné rendez-vous à notre guide pour visiter le Pays Dogon !
Le Pays Dogon c'est super beau... En fait, tout se passe autour d'une falaise de beaucoup de kilomètres...
A l'origine, dans des failles de cette falaise, vivaient des Pygmées... Ce sont eux qui étaient vraiment, mais vraiment très petits, on en est pas encore revenues ! On dit qu'ils sont courts parce que c'est comme ça. Les grands sont longs et les petits sont courts...
Les Pygmées furent chassés par les longs Dogons qui construisirent leurs villages contre la falaise pour se protéger des intempéries et des agressions extérieures. Mais un jour, ils durent déplacer leurs village au pied de la Falaise à cause de la sécheresse, se rapprochant ainsi des points d'eau, et aussi parce qu'ils devenaient trop nombreux.
On a un peu marché, on a vu des paysages extraordinaires et des chouettes gens... merci à Ibrahim notre guide, qui nous a même trouvé des charrettes et des ânes quand c'était trop dur de marcher avec nos gros sacs à dos... (c'est arrivé une seule fois car on avait laissé nos sacs dans un village sinon ça aurait été trop lourd on est pas très sportives nous...!)
Reprenons... nous avons quitté Djenné dans un véhicule nommé bâché dans lequel nous avons vécus de fous moments serrés à 17 les uns contre les autres... Notamment une jolie tempête qui nous a plongé dans un brouillard rouge... Le bâché était arrêté, les hommes avaient enlévé les bagages du toit, pressentant certainnement la tempête. Le vent soufflait, puis sa force à augmenté, la terre s'est soulevée et nous avons été entourés d'une poussière rouge, d'abord semblable à un brouillard important jusqu'à devenir totalement opaque !! Puis la pluie est arrivé, gifflant les bâches du bâchés, alors que le vent continuait à secouer ce dernier. Enfin bon c'était rigolo. On s'est pas mal arrêté pour des problèmes techniques du véhicules... certains descendent avant le terminus, d'autres montent vu que des places (je sais pas où ils ont vu de la place...) se sont libérées ! On a même eu 2 chèvres avec nous, qui ont bien failli faire pipi sur les tapettes (ententez tongs) d'Emilie !
Finalement Lulue était toute faible mais on est bien arrivées à Bandiagara où on était dans un hôtel class et où on a donné rendez-vous à notre guide pour visiter le Pays Dogon !
Le Pays Dogon c'est super beau... En fait, tout se passe autour d'une falaise de beaucoup de kilomètres...
A l'origine, dans des failles de cette falaise, vivaient des Pygmées... Ce sont eux qui étaient vraiment, mais vraiment très petits, on en est pas encore revenues ! On dit qu'ils sont courts parce que c'est comme ça. Les grands sont longs et les petits sont courts...
Les Pygmées furent chassés par les longs Dogons qui construisirent leurs villages contre la falaise pour se protéger des intempéries et des agressions extérieures. Mais un jour, ils durent déplacer leurs village au pied de la Falaise à cause de la sécheresse, se rapprochant ainsi des points d'eau, et aussi parce qu'ils devenaient trop nombreux.
On a un peu marché, on a vu des paysages extraordinaires et des chouettes gens... merci à Ibrahim notre guide, qui nous a même trouvé des charrettes et des ânes quand c'était trop dur de marcher avec nos gros sacs à dos... (c'est arrivé une seule fois car on avait laissé nos sacs dans un village sinon ça aurait été trop lourd on est pas très sportives nous...!)